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Situation économique en Finlande

La Finlande a rejoint l'Union européenne (UE) en 1995. La dette de la Finlande reste inférieure au seuil de 60% fixé par le pacte de croissance et de stabilité de l'Union européenne (UE). Elle est en baisse, passant de 44% du PIB en 2008 à 38% en mai 2011. Malgré le niveau d'endettement, les exportations ne sont toujours pas revenues au niveau d'avant la crise. En raison de la baisse du commerce international, la valeur totale a diminué de $129bn en 2008 à $89bn en 2009 avec une légère reprise à $90bn en 2010.

La corruption est quasiment inexistante en Finlande. Le pays est classé 4e sur 180 dans l'indice de perception de la corruption de Transparency International. Cela fait de la Finlande un pays attrayant pour les investissements étrangers (fusions et acquisitions).

Affaires en Finlande

Les trois quarts de la superficie de la Finlande sont couverts de forêts et environ 20% des revenus d'exportation proviennent de l'industrie forestière, notamment des produits papetiers de haute technologie. La gestion durable des forêts est une question essentielle pour le gouvernement.

Une grande partie du commerce de l'UE avec la Russie passe par la Finlande, ce qui confère à ce pays un avantage considérable en termes de situation géographique, puisqu'il peut être utilisé comme plate-forme commerciale par et pour les États baltes et les pays nordiques.

Les produits exportés par la Finlande se trouvent dans les secteurs de la pâte à papier, du papier, des machines et équipements, des produits chimiques, des métaux et du bois. Les trois principaux partenaires d'exportation de la Finlande sont la Russie, la Suède et l'Allemagne. Les importations sont les suivantes : fils et tissus textiles, céréales, denrées alimentaires, pétrole et produits pétroliers, produits chimiques, matériel de transport, fer et acier, machines. En termes d'importations, la Russie avait une part d'importation de 16,2% en 2009, suivie par l'Allemagne (15,7%), la Suède (14,6%) et les Pays-Bas (6,9%).

Secteurs d'opportunité pour les fusions et acquisitions

Les technologies de l'information et des communications (TIC), les industries forestières et les biotechnologies ont été identifiées comme des secteurs importants pour les investissements en Finlande. Les produits de haute technologie représentaient environ 14% du total des exportations du pays en 2009. Plusieurs des principales entreprises mondiales de sécurité Internet sont basées en Finlande. Environ 10% des entreprises européennes du secteur de la biotechnologie sont originaires de Finlande. Les entreprises finlandaises de biotechnologie représentent près de 7% de toutes les entreprises de biotechnologie de l'UE.

Investir dans les fusions et acquisitions en Finlande

Le système juridique finlandais est fortement influencé par la Suède. La Finlande accueille les investissements étrangers et offre un environnement attrayant aux investisseurs étrangers, en raison de la stabilité macroéconomique du pays, de sa main-d'œuvre bien formée, de son ouverture à la technologie et de son électricité et de ses télécommunications bon marché. Les impôts sur les personnes physiques sont relativement élevés. Les personnes morales sont soumises à un impôt de 26%. Le taux général de TVA est actuellement de 23%. Le système de travail finlandais est surréglementé. Une grande partie du commerce de l'Union européenne (UE) avec la Russie passe par la Finlande. En ce qui concerne les acquisitions de grandes entreprises et de sociétés de défense, le gouvernement a le droit de rejeter de telles transactions.

Recherche et développement

Bien que les dépenses publiques en matière de recherche et de développement soient élevées, les investissements du secteur privé ne sont pas généralisés. Les dépenses de la Finlande en R&D sont élevées, avec 2,7% de son PIB. Les investissements du secteur privé ne sont pas généralisés, une part importante est investie par la société Nokia (32,3% des dépenses totales en Finlande).

Le paysage technologique

Selon le Forum économique mondial, la Finlande se classe au septième rang mondial en termes d'indice de compétitivité globale pour 2010-2011. La Finlande n'est pas en mesure de traduire ses capacités de recherche en brevets. Bien que le nombre de brevets soit en hausse (avec 1 232 brevets enregistrés en 2010), elle reste loin derrière les autres nations de l'UE.

Le nombre annuel de doctorats a doublé depuis les années 1990. Une main-d'œuvre hautement qualifiée est bénéfique pour la Finlande en ce qui concerne les investissements dans les industries de haute technologie. Le vieillissement de la population est un défi pour le gouvernement qui doit maintenir le système de retraite à son niveau actuel.

La Finlande est un pays intéressant pour les fusions et acquisitions. Dans cet article, nous avons essayé de donner une impression sur les fusions et acquisitions en Finlande. Si vous avez une question, une suggestion ou une opinion, laissez une réaction sur cet article.

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